Défi - Aider le jeune à grandir dans sa globalité
Comment décririez-vous l’accompagnement apporté aujourd’hui à votre enfant ?
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ALVINA Ste BOUGHON
09/03/2022 - 09h11
Le vivre ensemble est la base de notre enseignement nous observons que nos enseignants sont bienveillant envers nos enfants et qu'ils tentent par tous les moyens disponibles de les aider à titre individuel.
Malheureusement le sureffectif des classes est un frein pour l'épanouissement individuel les enseignants qui manquent de temps, de moyen et probablement d'énergie.
Mon fils (CM2)a besoin que l'on adapte son travail, d'aide à s'organiser et d'un accompagnement mais sans besoin AESH j'en suis consciente et il est loin d'être le seul.
L'enseignante est extraordinaire mais avec un effectif de 29 et 07 élèves TDA DYS ... c'est compliqué.Aucun commentaire
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Nelly Colmar
24/02/2022 - 15h37
Aujourd'hui ma fille s'en sort bien. Nous passons du temps tous les soirs pour travailler et les week-end. Elle est volontaire et motivée. Elle sait pourquoi elle doit apprendre.
Mais que dire pour le petit S. qui lui n'a pas la chance de finir l'école à 17h00. Sa maman le récupère à 18h30, il n'a pas trop avancé à l'étude parce qu'il n'aime pas travailler. Arrivé à la maison à 19h00, il se lave, mange - il est déjà 20h30.
Comment travailler après une longue journée pour tout le monde quand en plus "j'aime pas l'école".
L'accompagnement pour moi, c'est une heure le soir et 2 à 3 heures le week-end.
Mais l'école ... elle travaille seule à l'étude, elle est autonome en classe.
J'ai beaucoup de chance. Je le souhaite à tous.Aucun commentaire
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gilles bonifay
22/02/2022 - 18h41
je suis personnellement satisfait de l'accompagnement personnalisé qui existe en structure privée. Mais le but est de permettre à nos jeunes de trouver leur place dans la société actuelle. Au-delà des enseignements théoriques, du groupe d'amis dont ils font partie, du quartier qu'ils habitent, il est nécessaire de leur faire découvrir le monde tel qu'il existe. Cela permet aux jeunes de prendre conscience de leurs points forts et points faibles, de leurs atouts et désavantages. il existe de bonnes pratiques que l'on peut généraliser comme inviter les enfants dans d'autres familles pour découvrir d'autres modes de fonctionnements. Il est nécessaire de développer les stages en entreprise encore plus.
L'aider à prendre conscience de gérer ses priorités, gérer son temps. Apprendre l'efficience, entretenir les relations humaines, le respect, l'écoute. Bref, tous les points importants dans une vie qui ne sont que très peu enseignés actuellement (ou pas assez).Aucun commentaire
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Hélène
20/02/2022 - 13h37
Les adolescents sont sensibles aux interactions avec les adultes. Les enseignants continuent de fonctionner de façon descendante et autoritaire. Cette méthode leur fait perdre le lien avec l'élève. Changeons cela ! Patience, compréhension, écoute, demande, accompagnement.
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Jessycka
19/02/2022 - 23h20
Bien que je connaisse pas officiellement toutes les personnes qui s’occupent des maternelles je trouve dans l’ensemble l’accueil très bienveillant.
Je regrette juste qu’en garderie soit de 15h45 à 17h30 les enfants soient simplement assis à attendre sur un banc. Ils n’ont pas réellement d’espace pour courir sauter et jouer mais ils pourraient écouter des histoires.
Qu’il y ait une petite interaction et pas juste retrouver les enfants assis sagement sur un banc . Je le perçois parfois comme une punition.Aucun commentaire
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TITINE
16/02/2022 - 10h17
Mon fils est en 3ème. Les classes sont de 15 élèves et ils travaillent la plupart du temps en groupe de 7 à 8 élèves. Ces faibles effectifs permettent aux enseignants d'être plus à l'écoute de l'enfant, d'avoir un accompagnement presque personnalisé et surtout bienveillant.
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Arnaud Moore
15/02/2022 - 04h45
L'enseignant n'est pas formé aux élèves à besoin particuliers. Qu'ils soient enfants "à troubles" ou porteurs de handicap. Il faut aider les enseignants à sortir des cases dans lesquelles leur formation leur indique d'inscrire les élèves. Via la formation, via la présence d'assistants spécialisés dans ces domaines et à même d'accompagner les élèves, il faut que l'éducation soit adaptée et non pas que l'élève soit contraint. Plus qu'un enseignement répétitif appris sur les bancs de la fac, donner les moyens aux enseignants et accompagnants de tirer profit des traits de personnalité des enfants pour en faire des richesses. Du quasi coaching de personne plutôt que des schémas tous faits, incompatibles avec la diversité des profils des enfants.
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Vincent
11/02/2022 - 17h57
L'enseignant est désarmé face aux 8% d'élèves TDA/H et il est courant qu'ils finissent pas s'agacer quand ils se retrouvent confronté à des élèves qui ne rentrent pas dans le cadre. L'élève ne note pas ses devoirs ? Il n'écoute pas ? Il ne respecte pas les consignes ? L'agacement ressenti par l'élève qui doit faire face à un handicap de concentration ou d'attention ne doit pas être stygmatiser par un enseignant qui ignore ce type de problématique. Il est temps de lancer une campagne d'information et de formation afin de leur faire comprendre que la victime face à ce genre de comportement involotaire de l'élève n'est pas l'enseignant mais bien l'élève lui même qui ignore parfois son handicap qu'il a pu compenser de temps en temps pendant sa scolarité. Et ce n'est pas correcte d'orienter ces élèves en échec scolaire vers des orientations pro ou cap alors que la pluspart sont des hauts potentiels non détectés mais brillants dans certains domaines. Il est temps de changer de posture face à ces élèves prometteurs et créatifs qui font avancer et évoluer la société grace à leur potentiel original.
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Céline LEDIEU
07/03/2022 - 09h27
Tout à fait d'accord, mon fils en 3ème est EIP ( intellectuellement précoce ) et ne trouve pas sa place au collège, il s'ennuie et les cours auxquels il participe l'ennuient, il subit et du coup, ne participe pas ou très peu, pourtant il est très ouvert et adore participer/échanger mais la façon dpnt il apprenant aujourd'hui ne lui convient pas. On frôle phobie scolaire :(.
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Julie REVEILLE
09/02/2022 - 13h01
Le cadre et les règles sont nécessaires , mais cela doit se mettre en place avec également des moments d'ouverture, de libertés, donner du sens ... et rester flexible
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Justyna
18/02/2022 - 11h13
Merci beaucoup pour ce commentaire. Je suis encore en phase de observation de cette école, ayant déménagé de Bruxelles cette année. Je suis surpris d'entendre le mantra de "les enfants sont bien encadrés" ici. Chaque fois que j'entends un éloge pour l'école du côté des parents, ces mots sont immancabiles dans l'évaluation.
Je suis d'accord que les enfants ont besoin d'être guidés. Mais c'est un choc culturel d'observer le langage des structures vie scolaire. Retenues, sanctions... Après l'avoir partagé avec mes amis internationaux, je n'ai pas entendu le même enthousiasme envers le concept de "l'encadrement" que parmi les parents d'ici.
Je comprends que l'école est grande, mais les structures semblent de prendre le priorité avant le contact humain. Cette dimension me manque beaucoup.
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smaune
07/02/2022 - 09h02
Il y a des professeurs meilleurs que d'autres et la base de cette excellence est la pédagogie et l'empathie ; nous avons tous en tête les noms des maitres et professeurs auprès desquels nous avons aimé apprendre. Malheureusement, tous les enseignants ne sont par les phares qu'ils devraient être et il faut composer avec cette réalité. Ils font ce qu'ils peuvent mais j'observe dans l'école de mes filles une réelle volonté de toujours faire mieux et je suis globalement très satisfait de leur accompagnement. On ne doit pas tout attendre de l'école et participer pleinement à l'éducation et à l'instruction de nos enfants afin de pallier aux lacunes de l'école, qui sont normales et qui ont toujours existé. Ne pas également critiquer devant eux leurs maitres ou professeurs, leur expliquer la difficulté de ce métier et le fait qu'ils doivent eux-aussi faire des efforts d'adaptation.
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Jennifer 54
17/02/2022 - 18h57
Je suis convaincue également qu'il faut repenser les formations d'enseignants, les accompagnants. Bien souvent les personnes qui accompagnent les enfants en situation de handicap ne sont pas formés et ne sont la que pour un court passage.
Certains enfants ont un profil "type" et sont d'office catégorisés par manque de formation ou d'investissement des personnes missionnées.