Les enfants "différents" sont nombreux: TSA1%, TDAH 5%, Dyslexie 5 à 17% (source: handicap.gouv.fr), EIP: 2à 3% (source: académie de Paris)
Beaucoup de documents officiels existent (Eduscol...) mais la prise en charge reste trop rare en pratique. Plusieurs pistes:
- Dépister les troubles neurodéveloppementaux en CP ou fin de GS; au même titre que les tests visuels réalisés systématiquement; par un test de "débrouillage" pouvant, si positif, amener à un bilan spécialisé (le retard de diagnostic pouvant amener l'enfant à l'échec scolaire, et à créer une incompréhension de l'enseignant)
- Créer au moins une classe ULIS par groupement d'établissements, pour socialiser les enfants avec handicap
- Engager des professionnels paramédicaux (orthophoniste, psychomotricien, neuropsychologue...) par groupe d'établissements pour prise en charge des troubles des apprentissages pendant la journée d'école (ne pas alourdir les soirées, mercredi, we de l'enfant avec ces prises en charge). NB: pas de psychologue scolaire dans l'enseignement catholique contrairement au public.
- Créer une "classe" interniveaux par école pour les enfants EIP où ils pourraient se retrouver au moins une demi-journée par semaine, ou sur la pause méridionale par exemple.

  • fafa5926

    17/02/2022 - 17h13

    Avoir un peut plus d’avs et voir pour ne pas trop alourdir le travail à la maison car pas évident pour les dys …

  • Alto

    13/02/2022 - 14h39

    Sur le fonds oui, sur la remediation je ne sais pas

  • Elise Roq

    09/02/2022 - 17h56

    NB: temps libéré pour les parents des enfants concernés +++(conduites multiples chez les nombreux paramédicaux). Les parents pourraient alors donner de leur temps pour accompagner un groupe d'enfants différents à l'école, en secondant un enseignant, un paramédical... une demi journée par semaine par exemple.